Voici un
article de Jean Lavoué qui montre que la décision de reprendre les célébrations,
mais limitées à 30 personnes, qu'on soit pour ou contre, est très maladroite et
a pour conséquence immédiate d'amplifier le débat, occultant par là des
réflexions bien plus adaptées. Mais il ne s'agit que d'un nième épisode d'un
feuilleton dont la série est encore loin de s'achever.
Et un article
d’Anne Soupa. Grâce à la décision du Conseil d’État, les farouches tenants
de « la messe » seront donc satisfaits. Et c’est tant mieux. Mieux vaut les
voir satisfaits que victimes. Et si le Conseil d’État le dit, la loi est sauve.
Est-ce la paix entre les catholiques ? Oui, avec certains. Non, certainement
non, avec ceux qui veulent rétablir la prééminence du culte, un culte
éminemment clérical, au centre de la vie chrétienne, envers et contre tout
souci de la santé d’autrui.