mardi 14 avril 2020

Le coronavirus nous aide à passer du divertissement à la prise de conscience de notre fragilité

Selon Blaise Pascal, tout le monde est en proie au divertissement, qui consiste à la recherche désespérée d’une consolation face à la difficulté d’être soi. Le divertissement renvoie aux activités humaines futiles (recherche de la gloire ou des biens matériels) pour échapper à notre condition.
Le temps du confinement nous force à quitter notre vie stressante de métro, boulot, dodo pour faire une pose et pour réfléchir. De nombreuses pistes nous sont proposées
Voici celle de René Poujol « Et si la littérature nous donnait matière à réfléchir, croire et espérer ? »
Le site Garrigues et Sentiers propose un dossier « Pour faire du confinement un temps de partage »
Des articles de la Revue Etudes
Deus ex machina - Dominique Collin
Vers un monde de COVIVANCE - Mariette Darrigrand
Dépouillement - François Cassingena-Trévedy
Le retour du long terme - Etienne Klein
Une leçon de solidarité - Jean-Marc Ferry
Pour une utopie modeste - Paul Valadier 
La force d’un combat commun - Mazarine Pingeot
Notre condition d’êtres reliés - Pierre-Louis Choquet
Sortir de la légèreté - Pierre de Charentenay sj
Illusion, utopie et espérance - Jean-Pierre Winter
Revue Christus
La conversion écologique
Le blog de Michel Benoît : Le coronavirus et nous
Le journal Le Monde
Autres documents
Interview de Jacques Gaillot par Golias  
Les articles du site : The conversation
Les églises vides : un signe et un défi : Thomas Halik
Et l’on pourrait continuer ainsi