L’ensemble de ces réactions dénote une évidence terrifiante : l’absence totale de prise de conscience de la gravité des faits, et de l’entière responsabilité de leurs auteurs, comme dans le civil.
L’Eglise
catholique est-elle encore crédible ?
Combien de
fidèles vont ils se tourner vers l’Eglise Réformée ou orthodoxe ?
Combien
d’enfants de couples mixtes vont-ils être écartés du catholicisme par un parent
musulman ou juif, légitimement effrayé de ce manque de prise de
conscience ?
Combien
d’athées militants vont-ils faire des émules, vociférant sans nuances sur la
nocivité des religions ?
Combien de
femmes qu’on a voulu déposséder de leurs corps en invoquant fallacieusement des
« enfants innocents » vont elles se détourner définitivement ?
Combien
d’anciennes victimes, que les faits aient duré quelques mois ou plusieurs
années, qu’il s’agisse d’attouchements ou de viols, vont-elles éprouver une
invincible répulsion à remettre un pied à l’église ?
Au milieu de
ces questions qui me taraudent, un grand merci au religieux qui dans sa récente
homélie, a dit que si les clercs avaient compris le sens du mot
« ministère » c’est à dire « service » et non pas
« pouvoir », bien des drames auraient été évités…
Il m’a donné
une faible lueur d’espoir.
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Quelques
communiqués
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