Je me suis rendu compte que nous sommes déjà plongés, du moins théologiquement, dans un temps de préparation synodale sur le « marcher ensemble » ; une tâche qui est aussi intimement liée à la compréhension et à l’exercice de la primauté de Pierre et, bien sûr, à ce que François appelle joyeusement « la conversion de la papauté ». Et, également, avec la coresponsabilité de tous les baptisés non seulement dans l’évangélisation et la célébration, mais aussi et surtout dans le gouvernement et le magistère de l’Église.
Et ce dernier
point est quelque chose que je ne trouve pas, pour l’instant, présent dans les
contributions théologiques que j’ai lues dans la phase précédant le début du
processus synodal qui s’ouvrira en octobre 2021 prochain et qui, débouchant sur
des synodes dans les Églises locales et d’autres réalités particulières
(octobre 2021-avril 2022), conduira à une phase continentale (septembre
2022-mars 2023) et à la phase dite « de l’Église universelle » (octobre 2023).
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http://www.garriguesetsentiers.org/2021/08/l-infarctus-theologique-de-la-synodalite.html